Voilà la playlist du spectacle Rêvolution!
Vous êtes prêts pour chanter et danser?
Zombie – Maître Gims
Maître Gims est un célèbre chanteur de rap français. Au début de ce clip, le nom Gandhi Djuna apparaît juste après celui de Maître Gims. Gandhi Djuna est le vrai nom de maître Gims. On veut faire croire que ces deux personnes sont deux acteurs différents de ce clip : le thème de cette vidéo est de présenter Maître Gims en compagnie de son alter ego (Gandhi Djuna). Il est filmé tiraillé entre deux identités, deux façons d’être. Une semble attirée par la lumière, l’autre par les Illuminati.
Cette vidéo montre donc Maître Gims au volant d’un véhicule. Un homme est attaché, les yeux bandés, à l’arrière. On s’aperçoit u peu plus tard qu’il s’agit de lui-même, portant des chaînes en or, blouson de cuir, signes extérieurs de richesse, chers aux Illuminati. Le bandeau montre qu’il est aveuglé, les chaînes qu’il n’est pas libre. Pour bien montrer que le “gentil” maître Gims veut sortir le “méchant” de son contrôle mental, on le voit en train de lui donner une paire de lunettes. Ce geste est fort et n’a qu’une signification: ouvre les yeux.
A la fin de cette vidéo, le “gentil” Maître Gims, le libre, semble se débarrasser des chaînes que représentent tous ces objets précieux sur son alter ego. Il finit en effet par enterrer son alter ego, et brûle sa grosse voiture, symbole de la société de consommation, dans un feu purificateur (déjà présent au début du clip).
Scène finale
Mais on s’aperçoit à la fin du clip que Gims n’a pas choisi son camp car si le Gims “gentil” se trouve les genoux dans l’eau (comme les baptistes qui se purifient par une nouvelle naissance); son alter ego contrôlé sort la main de la terre, pour signifier que son état de zombie n’a pas trouvé de fin.
« Tu n'es que l'ombre de toi-même
Ta raison se déchire
Tu défies tes désirs
Laisse-toi tomber
Retire ces chaînes
Qui te freinent, qui te freinent
Stop, je tisse des liens, j'en perds le fil
Bâtis ma vie, construis dans l'vide
Les gens me disent, "L'espoir fait vivre"
Comment m'faire vivre, je suis un zombie »
Le cœur éléphant – Fréro Delavega
"Cette chanson en elle-même est une invitation au voyage, à la découverte sur soi, sur les autres, qui fait de plus en plus grandir son cœur" explique Flo Delavega. "On a voulu voyager dans l’eau, sur l’eau, dans les montagnes ».
« Au-delà des orages
Je pars en voyage
Mon âme au vent
Le cœur éléphant
Je suis parti d’ici
Pour rencontrer la vie
Être vivant
Énormément
Sur les épaules des géants
Le cœur éléphant
Voir au-delà de nos vies »
Quels sont les instruments que tu entends jouer dans la vidéo? ______________________________
Quels sont les paysages qui apparaissent dans la vidéo ? ____________________________________
Un peu de rêve
Ce monde n’a plus d’âme…
Tendez-moi un peu de rêve
J’ai plus le temps (…)
Je veux déployer mes ailes
M’envoler
Je cherche la paix.
Première partie de la vidéo |
Deuxième partie de la vidéo |
Ils portent tous un uniforme bleu et les mêmes chaussures |
Ils portent une uniforme blanches aux tâches de toutes les couleurs |
Les femmes portent une perruque blonde, aux cheveux raides, les hommes ont la même coiffure |
La femme a les cheveux blonds, longs et bouclés |
Ils restent tous le temps dans un lieu fermé (l’usine, la cantine) |
Ils sortent en plein air : ils sont à la montagne (symbole de liberté et de paix) |
Ils ont tous un code-barres |
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A la cantine, ils mangent tous les mêmes plats et ils boivent de l’eau |
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Ils font tous les mêmes mouvements |
Ils dansent libres |
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Rien n’a changé
Les Poppys sont un groupe français d'enfants interprétant des chants dans la mouvance hippie des années 1970, en pleine guerre du Viêt Nam. Leurs chansons mettent en avant l'amour, l'incompréhension face à la guerre et la violence des adultes, la fraternité, la paix, l'écologie mais aussi la religion.
« C'est l'histoire d'une trêve
Que j'avais demandée
C'est l'histoire d'un soleil
Que j'avais espéré
C'est l'histoire d'un amour
Que je croyais vivant
C'est l'histoire d'un beau jour
Que moi petit enfant
Je voulais très heureux
Pour toute la planète
Je voulais, j'espérais
Que la paix règne en maître
En ce soir de Noël
Mais tout a continué
Rien n’a changé »
Viens on s’aime
Slimane a choisi de lancer un vibrant appel à la tolérance. L'artiste d'origine algérienne a récemment été victime d'insultes homophobes avant de subir un contrôle d'identité dans un train. « C'est une sorte de racisme du quotidien et de ségrégation. Cela me rend triste car cela arrive trop souvent, cela devient banal (…) Comment peut-on faire pour que tous les français sachent que la France a mille visages ? » s'est interrogé Slimane dans une vidéo largement relayée sur les réseaux sociaux.
Dans cette vidéo en noir et blanc, Slimane retrace le parcours d'un jeune garçon différent des autres car sa peau est de toutes les couleurs. Élevé dans un petit village de campagne, celui-ci est rejeté et victime de discrimination. Pas facile dans ces conditions de trouver sa place dans le monde... mais l'homme va faire une rencontre décisive : celle d'une femme de couleur, comme lui. Une magnifique fable !
« Viens on s'aime
Viens on s'aime
Allez viens on s'aime, on s'en fout
De leurs mots, de la bienséance
Viens on s'aime, on s'en fout
De leurs idées, de ce qu'il pensent
Viens on s'aime, et c'est tout
On fera attention dans une autre vie
Viens on s'aime, on est fou
Encore un jour, encore une nuit »
Une belle histoire
En 1972 sort sur les radios une chanson qui accroche tous ceux qui l’écoutent. C’est "Une belle histoire". Michel Fugain la chante. En moins de trois mois, plus d’un million de 45 t sont vendus. Depuis, elle est régulièrement programmée par les radios. Cette "Belle histoire" est celle de milliers d’ados ou de jeunes adultes qui découvraient le monde et l’amour.
Au départ, Michel Fugain avait imaginé une rencontre entre un garçon et une fille qui allaient chacun dans un sens sur la mythique route 66 aux Etats-Unis. Pierre Delanoë, l’un des plus importants paroliers français transpose cette histoire un peu lointaine en quelque chose de plus proche des Français : le départ en vacances vers le Midi.
Le début de l’histoire
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
La fin de l’histoire d’amour
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
San Francisco
En 1971, Catherine Le Forestier, accompagnée de son frère Maxime à la guitare, remporte le premier prix du festival de Spa. Avec l'argent ainsi gagné, ils décident de partir tous les deux pour San Francisco. Ils se rendent alors à l'adresse que leur a confiée Luc Alexandre, un ami belge qui leur assure que la ville est faite pour eux. Ils y restent plusieurs semaines, au milieu d'une communauté hippie baptisée « Hunga Dunga » où se côtoient entre autres des déserteurs du Viêt Nam et des homosexuels.
De retour en France, Maxime reçoit une lettre accompagnée de dessins que lui ont envoyés les habitants de la maison bleue. Ne parlant que très peu l'anglais et pour les remercier de leur accueil, il décide de leur envoyer une chanson plutôt qu'un courrier et c'est ainsi qu'il écrit et compose rapidement San Francisco. Titre joué à la guitare, il évoque cette maison habitée par les hippies.
Les cactus
Cette chanson résume tout l’égoïsme et l’individualisme du capitalisme.